The Knick
Le staff de l'hôpital Knickerbocker de New York, des chirurgiens aux infirmières, doit repousser les limites de la médecine au début du 20ème siècle, à une époque où le taux de mortalité a soudainement augmenté et où les antibiotiques n'existent pas encore...
Terminée | Américaine | 55 minutes |
Drame, Médical, Drama | Cinemax, OCS choc | 2014 |
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1.03 - La puce qui se cache
The Busy Flea
Thackery insiste pour que Gallinger et Chikering expérimentent de nouvelles technique chirurgicales sur des porcs, alors que lui-même Thackery hésite à opérer une ex-conquête. Quant à Barrow, l'administrateur financier de l'établissement, il doit rembourser de l'argent à un mafieux de New York. Robertson finit par obtenir gain de cause : il avait raison en diagnostiquant un cas de fièvre typhoïde.
Diffusion originale : 22 août 2014
Diffusion française :
22 août 2014
Réalisat.eur.rice.s :
Steven Soderbergh
Scénariste.s :
Jack Amiel
,
Michael Begler
Guest.s :
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Avis neutre | Déposé le 24 août 2014 à 08:49 |
Le problème de cet épisode c'est qu'il ne se passe au final pas grand chose. Le rythme est assez lent et les événements de l'épisode ne font retarder que les intrigues qui pourraient se révéler être intéressantes. Donc on passe un épisode à se rendre compte qu'on ne pourra pas traduire du français et donc qu'on aura besoin d'Edwards, mais l'opération n'a pas encore lieu, Edwards est pris au piège avec un patient mais il n'y a pas pour l'instant pas les conséquences. La religieuse est découverte dans ses activités illégales mais on ne lui fait que des remarques évasives. Et on voit très peu Thackery, qui lui opère une riche syphilitique (ancienne amante?) et qui nous permet une petite réflexion (était-elle nécessaire ?) sur le drame qu'apporte des maladies (dans l'imaginaire collectif qui ne doivent toucher que les pauvres) sur les belles dames de la bourgeoisie. Il n'empêche que les personnages nous promettent donc de belles opportunités, et que les intrigues peuvent être très intéressantes -si mieux maîtrisées et plus rythmées. D'autant plus que Clive Owen, même s'il apparaît peu dans l'épisode, est toujours ausi bon. Et l'esthétique est toujours aussi réussie, avec un beau travail des lumières. |
Très bonne série qui prend son temps pour dépeindre la difficulté d'adaptation des différents protagonistes face aux changement de mœurs...
C'est assez magique.
Et puis la réal de Soderbergh est magistrale, avec un travail fantastique au niveau du son...et c'est assez rare pour être souligné.
Soulignons aussi que les épisodes passent à une vitesse incroyable, pour nous en tout cas, et c'est assez bon signe.